Haïku et senryû sensuels
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 Premier RDV 


coups de corps
ça vibre jusqu’au bout
du sien



unis et nus
un cœur bat
plus fort
 

deux corps unis
dans l’équilibre des pressions
un corps naît


raidi
prêt à franchir les sens
interdit



révélant le blanc
et la noblesse du coton
sa culotte



après coup
en chien de fusil
apaisés


unis
seins contre dos
pour la nuit


dans le coeur
gravé sur le tronc :
 pour la nuit


courrier intime
dans l’enveloppe
des poils frisés



lui dessus
saillant dessous
sûr de lui

dans sa bouche        
un morceau de moi     
en musique           



Au petit jour
quelques tâches blanches
bien réelles


jasmin sur elle
odeur dedans comme dehors
soir d’été

         d’un battement de cils
     de ses yeux à ses seins

canicule
recueillie dans son nombril
notre sueur


canicule
ce n’est pas encore ce soir
que je l’embrasse


son visage
vent d’hiver sur la ville
soulevant ses cheveux


le corps bronzé
du garçon blond sur le roc
dénudé
(sur le Mont Pelat)

sur les oreilles  
cerises en boucle    
belles à croquer                  

La cambrure de sa croupe
dans la courbe de la coupe
Champagne!


l’échancrure en V
de ses seins la cambrure
en C de ses reins


l’échancrure enviée
de ses seins la cambrure
ansée de ses reins

soulevant sa robe   
c’est le vent qu’elle dit 
trop souvent      

une deux trois taches
     jamais pu compter sur elle
              sa rousseur
   

tentatrice
la bissectrice tend
son triangle noir



au petit jour
sa nuit et sa robe blanches
trop courtes


cet hiver
elle n’a pas tout dit
robe d’été

    Depuis six mois
    elle ne me les avait plus léchés
    Méditerranée

de bouche à oreille
chuchotant des choses
horribles


à peine parti
                       la veuve est venue
 déjà désirable



sous son T-shirt
le Y des bretelles
de son bonnet C



sur sa deux chevaux
les portes s’ouvraient vers l’avant
vers le V



dans le pécher
les fiancés suivent les abeilles
dans les fleurs

   sur le balconnet
   coup de soleil sous le cou
   rouge gorge

peau de lait primeur
pour l’amateur de chair blanche
première chaleur



ses jambes
de la couleur de ses fesses
première chaleur



 


la pute au bord de la route
vu que ses yeux
bleus


gang bang
une bande de bourdons noirs
dans les blanches du cerisier




dans sa maison
aux quatre toits en triangle
sommeille le sien



            Les cuisses aérées
       sous la robe légère
  Mistral gagnant


Le ventre de l’une
moulé à la croupe de l’autre
Cuillers bien rangées

ma bouche joueuse     
suçote sous la douche  
la mousse de sa joue   

un petit pain chaud
ouvert au creux des fesses
hot dog

    sa bouche boudeuse
  suçant sa mèche blonde
      - bêcheuse
             (BB)

la fille du musée
tous les tableaux du monde
pour ce cul là 

     au préliminaire
           la peau sur le pré
                    prête à tout

 


penchée
                                 ouvrant son sac et le creux
         entre ses seins


 le sien              
   attiré avec gravité   
      vers ma paume        


       ouverture vulnérable
       l’effluve d’ulve de sa vulve
                                de visu

 

souffle et grimace    
lèvres ouvertes et dents nues   
cheveux au vent    


sous les draps
tant de parties à prendre
et... Aaaah... lécher


        l’œil sous la robe
               allongée dans le gazon
                               interdit au public

 gonflant                                     
les cheveux de sa nuque
                   un souffle

    gouttes de pluie
    titillant ton visage
    putain de flotte

                           II                     
ôtés les skis              
chercher la chair fraîche     
cachée des skieuses        
             II                     

      luisant vers lui
   ses seins si blancs
     qu’elle en abuse


ah ! un chachacha     
chacun cherche sa chacune   
c’est chaud pour le choix 


coup double
du couple souple
en boucle 


          olé olé
    les siens plus durs
         auréolés

jour naissant
ton sourire et les collines
journée avec…

bleu blanc doux         
levée des couleurs du jour   
avec elle               

de temps en temps
remontant son chignon
remontrant ses aisselles
 

     eux deux au lit
        deux pizzas pour le prix d’une
                      - deux étoiles 
 
    la peau mouillée
    le calme après l’orage
    le bruit de l’eau

 

        post-épilation
     transperçant le pâle
      les poils préservés

culottée           
juste au-dessus du rose   
un toupet noir  

 

reste quelques poils
au cœur du maillot
le compte est bon
  sans la voir 
  parlant sous le drap 
  sans la voix
ses seins soutenus
toute nue sous ses dessous
envers tout contre moi






la fleuriste
sa main et son sourire
m’effleure


          ma main qui descend
      ses cuisses ont compris
           mes mots indécents



     
 giclant d’une mini
                        ses longues jambes brunes
 au  maxi  talons






marché aux puces
une culotte de dame
d’avant la libération






la jeune fille
aux joues roses
a mis du rouge


 
 
 
dans la baignoire        
son gant ne tournera pas   
toujours autour         
 
 
 
 
c’est la fin
du monde m’entoure
mais plus elle
 
 
 
 
 
 après le délit
des jambes déliées dans le lit
enchevêtrement défait
 

soir d’été          
désir d’orage éclatant  
sur ta sueur      





soir d’automne
les jeunes amoureux s’embrassent
sans savoir


                           

 







la dame blonde             
aux boucles brunes          
sortant du bain             



échographie du scrotum
la belle interne commande :
levez la verge




veuve d’un jour
passant partout les menottes
sauf aux poignets




la première
en cinquième
ses seins avaient 2 ans




à ma décharge
je n’étais pas préparé
- première fois

la jeune fille          
aux joues roses       
amie du rouge        

quelques cheveux blancs
dans ses cheveux bruns
- pas un seul ailleurs





sous la douche
elle se frotte au gant
crin contre crin





l’ombre mystérieuse
entoure le maillot
- faut le faire...

 

 

    elle ressemble
          à un dessin d’Egon Schiele       
    - surtout le sexe 
 

avant de sortir
elle vérifie dans les glaces
son arrière




mini-jupe au longues jambes
- on sait ce qu’il y a après
et pourtant



 en terrasse
- une bière et les filles
toutes fraîches





 « ça ne m’arrive jamais »
- elle lui dit aussi
un mensonge






lune rousse
- la beauté de ses épaules,
ses taches 



nuit blanche
- ébloui en contemplant
les lunes




sortant de sa bouche
l'autan le plus émouvant
- vent dans mes cheveux





sur la webcam
- son prince saccadé
presque charmant

tu t’étends
les jambes en grenouille
- je plonge (plouf !)





    à l’agonie dans sa bouche
je meurs
           si je la regarde




plus rien à laver
elle a la vaillance
de tout avaler





sur l’herbe coupée
s’enfoncer dans son gazon
nature

pas encore acclimatés
ils tremblent dans le corsage
- premières chaleurs


lunettes de soleil
- ses yeux cachés…
reste le reste




... un mois avec les abeilles…
et toutes les Montpelliéraines
sont des reines




premières chaleurs
- de tout ce blanc
seul un triangle…




plein les yeux
de tout ce qu’on me cachait
- premières chaleurs

pour la première fois
on la regarde en femme
- premières chaleurs


premières chaleurs :
les nombrils à l’air
ne sont plus seul


 En mai, si tu aimes, fait ce qui lui plait… ou même ce que toi-même n’aimerais pas que l’on ne te fit pas… 
moi-même je m’en vais avec qui m’aime en Haute Provence, avec les cigales… et les chèvres 
... jusqu'à ce que l'ennui ou l'envie me ramène...

stores baissés
sur ton corps zébré
 ombres vénitiennes


la nuit
plus courte
mai avec elle



courte est la nuit
entre elle et mai
  pas le temps de dormir




lignes douces
   son corps en forme de femme
d’où ce mensonge

cheveux blonds mais tresses
- pas vraiment belle, mieux…
amoureuse




indélébile
mon souffle sur ta joue

éphémère




jambes hanches bras
allongés pareils aux miens
mais féminins




éveil
contre la femme endormie
- veille



v’la les jambes nues
- je pense à des choses
qui ne se font pas




premières fleurs
- le blanc retrouvé
des jeunes filles




premières chaleurs
- la peau blanche
de sa chair cachée

*

son bas balance
sur la piste de danse
proéminence


coït interrompu
-  menace écaillée sur la pierre
où il se love




désir de fruits
désir de pêches mûres
désir de lèvres




vent violent
averse, verdeur des verges:
 v’la avril 




en train de pomper
son cul pointé en arrière
- bzzzzzz


string (T)

je l’imagine
en petite culotte (V)



même nue
 elle bavarde

sans retenue



le doigt s’élève
son slip elle enlève
la lune se lève


giboulée de mars
sa petite culotte plus mouillée
que ma main



ma main sur le sien

le mien dans sa main
- besoin de rien

*

nue
elle m’offre
sa nuque



sur sa nuque
les même frisottis…

moins secrets


printemps précoce
- ta robe et l’herbe froissée
encore humides



déjà en levrette
elle attend...
instant un peu bête



dans la nuit…

une autre odeur une autre voix 

une autre 




tu  sens ?

- odeur d’algues et de fruits
de la passion


joueuse de flûte

devant le serpent

dressé


*

danseuse du ventre

ondule et rentre

en dedans

 

doucement

le drap glisse de ta jambe

- rideau


trop câline

tournant les pages

sans se presser

*

devant la motte

pétrissant fermement

potier débutant

montant derrière elle
sa petite culotte
subliminale

*

si longue absence
les mots convergent
puis s’étouffent

*

trop à se dire
ne trouvant plus les mots
seuls les corps parlent


pensant à elle
j’écris des petits poèmes -
pas osé lui dire

*

chemisier vedette
tissu qu’un sein soulève
vent d’été

*


sous mon balcon
soutien-gorge à balconnets
et son sourire

 

très attendue
dur de patienter encore
très très dur

*


bien entendu
j’ai pas attendu
bien trop tendu

*


souriante
embrassant un index
même pas jaloux

 entre ses seins 

une goutte de sueur

 allongée


Mini mini jupe
la longueur de ses jambes
raccourcit mes nuits

triangle noir
désir isocèle
 hantant mes nuits


là sous la fourrure
de ton manteau, un passage
avide d’aimer

encore libre
le papillon noir sur le sein
fin d'été

dans la rue
je la reconnais
déjà vu son nombril



Ventoux droit devant...
 je ne vois que le derrière
de la guide

corps contre corps
sent-tu
comme il t’aime


*

deux corps luisants
un instant immobiles
lune d’été

 *

déjà les oiseaux
commencent à chanter 
nos yeux encore ouverts

vent d’été
soulevant trop ta robe
vendetta

il est ressorti
il n’est plus dans la fille 
f.. le solitaire

après la dispute
son short vue de dos 
calme et tendue 



sous le cerisier
tout rouge
la main au panier

Voici les beaux jours
Chairs cachées des filles
montrez-vous!

mon psychotrope 
ton corps chaud tout contre moi
ma drogue douce  

Quand elle dit :
" Arrêtez-vous ! " à voix basse,
c'est déjà un peu réussi
(anonyme)

Retour de voyage
est-ce une impression seulement,
il la trouve plus large
(anonyme)

Guerrier en armure
lorsque entre les cuisses il entre
quelle succulence !
(anonyme)

après tant de vers
de sérénades, une nuit
voir enfin la lune


Des maisons de thé
on ressort avec la mine
de n'avoir rien fait
(anonyme)

après le plaisir
taches sur le pantalon
cerises trop mûres

les regards mâles

s’orientent à son passage

- jupe aimantée


Bienvenue
invitation exquise
membres seulement !

toutes les épices

tous les mystères de l’Asie

dans sa culotte


String sur la plage 
Deux énormes fesses blanches 
envahissantes

 


votre main est douce 
mais j'avais rêvé, reine,
un plus doux palais


masque vénitien
accentuant le caractère 
- blue-jean

 

un zeste

de père vers sa fille

pour un temps père amant


l’odeur
fraîche de son parfum
avant

*

l’odeur douce
heureuse de sa sueur
après

elle a zippé
ça a chuinté
je suis maté

lsuc
léo7im6l
c.10.20



je perds la raison

elle sa vertu, et puis 

on se reprend

la1.2cqi
7.ln
é2c5


yeux lèvres poitrine
elle a tout embelli  
  même la toison d'or   

 

jeunes années d'adolescence

   recherchent duvet perdu


sur la plage
sous le regard des voilées
une ficelle

 


nouvelle i cône 
sanctifiée par un sein
de silicone

 


Quel bout de ficelle    
blond des deux côtés    
tissu dans l'intervalle 
 

 

fermant le zip
sentez le pli dessiner
vos lèvres

 


tête renversée
yeux révulsés bouche ouverte
cracheur de vie

(d'après Cocteau)



hors du pantalon
essayant de s'envoler
toujours la ficelle

  
Montée en danseuse
  personne ne la double -
   son cuissard moulant

incontournable
bouclée et si brillante ...
et toufante


ventre que nul pli

ne ride, seul le frôlement

d’un frisson

je t’aime dit-elle -

confidence pour confidence

je m’aime aussi

au bas du dos

jaillissant des profondeurs

une queue de baleine

Hirondelle

du bas du dos

surgissant du vallon

une hirondelle

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