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"La montagne de lumière"

Encore un "lieu culte" des randonneurs languedociens. Situé dans le massif de l'Espinouse (parc régional du "Haut Languedoc"), proche de la mer mais avec déjà au nord des
influences océaniques, cette montage est caractérisée par son ensoleillement 
et sa luminosité qui lui vaut son surnom. 

Le sommet du Caroux est un plateau d'environ 1000m. d'altitude, encadré par deux gorges (Héric : très accessible et donc très fréquentée; Colombières : plus sauvage et donc plus attirante!). L'accès par le Nord est facile (environ 100m de dénivelée depuis Douch), 
celui par le Sud plus raide mais plus gratifiant (800 m); c'est celui-ci que je vous suggère. 

   Le départ se fait de Colombières/Orb (parking à coté de l'église) où l'on emprunte au nord (au hameau du Théron où est né J.C.Carrière) un magnifique chemin 
(escalier en gneiss oeillet!) qui monte à travers les murettes et les châtaigniers.
 Aux Baraques de Caylus on prend à droite un spectaculaire sentier en balcon qui conduit 
vers la Tour verte où l'on aborde le plateau; de nombreux chemins permettent de le
 parcourir et d'accéder à la table d'orientation. Pour le retour, emprunter le GR 7 
jusqu'au refuge de La Fage, puis effectuer la descente des gorges de Colombières 
pour revenir au village du même nom.

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Montée vers le Caroux

 

Borne séculaire et méritante décorée de l'ordre du GR (7)

 

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Sur le plateau, les rochers se déguisent en personnages amicaux ou inquiétants (le vent, toujours présent accentue la dramaturgie!)

 

     De nombreux ruisseaux mariant les feuilles et les couleurs, les roches et la lumière créent des tableaux que la photo ne peut capturer!

 

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" Le Caroux, personnage essentiel du paysage, est un ensemble dominateur, déchiqueté, rocheux et gris tout en haut, composé de pierres très anciennes, surtout de gneiss. Au sommet un assez large plateau, invisible de la vallée, domine les alentours. Des landes, des bruyères, des genets, des bosquets épars de chênes verts, de genévriers et quelques bois de hêtres cernent les sources des ruisseaux..." J.C.Carrière (Le vin bourru)