HISTORIQUE DU 2e R P I Ma |
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2e RÉGIMENT PARACHUTISTE D' INFANTERIE DE MARINE |
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DE L' ARMÉE FRANÇAISE |
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insigne régiment Fazoi de la force armée dans la zone sud de l'océan indien
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Sa devise À la vie. À la mort (jusqu'au 5 juillet 1962) Depuis : Ne pas subir
Lieu de garnison: ÎLE DE SAINT PIERRE DE LA RÉUNION
2e Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine Évolutions des Insignes qui ont constitués le régiment
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Date de création:1955 Constantine |
brevet commando Entrainement |
brevet
commando
Aguerrissement |
Commando de la saline |
1er compagnie |
2e compagnie |
1Cie RWANDA op turquoise |
1Cie ISKOUTIR Djibouti |
Cie CCL |
Cie_GCP |
1Cie Op AZALÉE |
Cie CCL |
chuteur Op |
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Drapeau du 2e RPIMa
Certaines informations sont extraites du site officiel du 2 RPIMa
Décorations: Il est décoré de la croix de guerre des TOE avec 4 palmes et de la fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre des TOE
LES
CITATIONS
Citation à l'ordre de l'armée (décision N' 3 - JORF des 6 et 7 mars 1950)
du 2ème Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes.
Bataillon de Commandos Coloniaux Parachutistes, formé autour du Commandant
DUPUIS, dans la tradition des Commandos du Groupement léger d'intervention en
Extrême-Orient et du 5ème régiment d'infanterie coloniale, a été durement
engagé dès son arrivée en Indochine, en Novembre 1947. Sillonnant sans arrêt
la Cochinchine, le Cambodge et l'Annam, ses commandos ont remporté d'importants
succès au cours de multiples opérations terrestres et amphibies, notamment
avec la DINASSAU 8 en février et mars 1948, à TUK MEAS le 24 août 1948, à
TAM QUAN en Annam en juillet 1949. Parachutés 29 fois, dont 3 fois dans le
cadre de la totalité du Bataillon, ils ont en toutes circonstances, largement
contribué au succès des opérations notamment à THAN TICH, en janvier 1948,
dans la plaine des Joncs en février 1948 et mai 1949, à RON et à PHU MY en
Annam en juillet 1948. Rapatrié après deux ans de séjour, le 2ème Bataillon
Colonial de Commandos Parachutistes laisse en terre d'Annam 40 des siens autour
de son Chef tombé lui-même dans une embuscade le 6 septembre 1948, inscrivant
finalement à son palmarès, I'œuvre de pacification réalisée dans la zone et
ses cantonnements de LAI THIEU, où sous l'impulsion volontaire du Commandant
TRINQUIER il a su rallier à lui et maintenir sous la protection de nos armes
une importante population.
Citation
à l'ordre de l'armée (décision N' 31 - JORF du 28juin 1952) du 2ème
Bataillon de Parachutistes Coloniaux.
Magnifique bataillon qui, dès son arrivée en Cochinchine a été aérotransporté
au Tonkin pour participer au dégagement de la région de Sontay lors de la
bataille de VIN YEN le 16 janvier 1951. Après 5 mois d'engagement à terre, a
été brusquement parachuté dans le Thaï Binh au moment de la bataille de NINH
BINH et a contribué efficacement à la pacification de cette région. Pendant
tout l'été 1951, a opéré en Annam, au Laos, au Cambodge, en Cochinchine,
puis au Tonkin et en Annam. Ramené d'urgence au Tonkin, est le 14 novembre
1951, parachuté en première vague sur HOA BINH où il s'empare de la hauteur
dite de BELVEDERE. Le 3 janvier 1952, au moment où l'étreinte V.M. se resserre
sur HOA BINH, est de nouveau parachuté et, sous l'énergique impulsion de son
commandant le chef de bataillon TOCE, par son entrain, par son activité, de
patrouilles offensives, par sa maîtrise du combat il décourage définitivement
la tentative d'assaut adverse. Au moment de l'évacuation définitive d'HOA BINH,
le 22 février, par une manœuvre magnifique, occupe de nuit une position minée.
Recevant les coups directs de l'adversaire qui le domine, se maintient toute la
matinée sur cette position et y arrête net l'assaut de l'un des meilleurs
bataillons Viet Minh. Finalement chargé de l'ultime protection des plages
d'embarquement, inflige aux rebelles des pertes considérables. Bataillon d'élite,
a, par son exemple, sa valeur combative et son haut moral, écrit une belle page
à ajouter à la gloire des parachutistes et de l'Armée Coloniale.
Citation
à l'ordre de l'armée (décision N' 20 - JORF du 24 avril 1953) du 2ème
Bataillon de Parachutistes Coloniaux.
Bataillon d'élite, remarquable par sa valeur, son calme au combat et sa
bravoure, sous les ordres du capitaine LENOIR chef ardent et audacieux n'a cessé
de se distinguer pendant dix mois de combats ininterrompus par ses hautes qualités
manœuvrières, son allant et son esprit de sacrifice. En mars 1952, renforçant
le secteur de PHAT DIEM, il a poursuivi son adversaire avec ténacité, une
rapidité et une souplesse de manœuvre remarquable, anéantissant sur le
terrain 30 tués, récupérant un armement important. Du 27 au 28 juin 1952,
dans le CHO CHAI, participant au nettoyage du DAC XO et de VIEN BINH (secteur du
PHU LY) lance de furieux assauts aux rebelles retranchés, leur infligeant des
pertes considérables. Continuant sa mission, prend une part importante le 21 août
1952 à la libération de KIM SON (secteur de PHAT DIEM). Implanté dans cette région
collabore étroitement au rétablissement de l'autorité régulière et à la
construction de nouveaux postes, ne laissant à l'adversaire aucun répit et
imposant des relèves répétées au Bataillon VM 61 usé par des échecs
successifs. Enfin aérotransporté à LAI CHAU (pays THAI) le 9 novembre 1952 et
engagé le 10 novembre dans un terrain particulièrement chaotique en direction
de LUAN CHAU en vue de contenir la poussée VM s'est trouvé en contact avec les
éléments rebelles fanatisés et très supérieur en nombre. Les 15 et 16
novembre, entre NAM MEUK et LUAN CHAU, attaquant à deux reprises un bataillon
rebelle solidement retranché, lui a infligé des pertes sévères au cours d'un
combat particulièrement violent. Les 17 et 18 novembre 1952, lors du repli sur
LUAN CHAU a livré de très durs combats retardateurs contre de puissants éléments
VM qui tentaient d'anéantir un élément ami sérieusement accroché. Au cours
de ces combats, a infligé aux rebelles des pertes s'élevant à près de 300
cadavres et 200 prisonniers. A parfaitement répondu aux espoirs mis en lui et
s'est montré digne des traditions séculaires de l'Armée Coloniale.
Citation
à l'ordre de l'armée (décision N' 8 - BODMR N' 9 du 3 avril 1958) du 2ème Régiment
de Parachutistes Coloniaux.
Magnifique Régiment parachutiste, désigné pour effectuer une opération aéroportée
sur PORT-SAID et PORT-FOUAD a été, sous les ordres du Colonel CHATEAU-JOBERT
parachuté le 5 Novembre 1956. Un sous-groupement du Régiment s'est emparé
dans un élan irrésistible des points commandant les débouchés Sud de
PORT-SAID et de l'usine assurant l'alimentation en eau potable d'une ville de
150.000 habitants. S'est ensuite accroché à ses positions malgré la réaction
d'un adversaire fortement armé et fanatisé, gardant ouverte la vole nécessaire
à l'exploitation de notre action sur le Sud d'El-KANTARA. Le même jour, sous
les ordres du Lieutenant-Colonel FOSSEY-FRANCOIS, un autre sous-groupement mis
sur pied par le Régiment a été parachuté sur une zone bordant au Sud la
ville de PORT-FOAUD. Malgré les feux intenses de l'ennemi qui occupait la zone
de saut, a réussi à déloger et à repousser les défenses égyptiennes. Puis
s'emparant de la caserne des Fédayins (commandos de la mort) il poursuivit son
action jusqu'au port qu'il neutralisa et dont il occupa les installations. Dans
la nuit du 5 au 6 Novembre, une habile manœuvre psychologique préparait la
reddition des forces égyptiennes et obtenait les garanties nécessaires pour un
débarquement sans coup férir de nos unités à PORT-FOUAD. A infligé à un
adversaire nombreux, supérieurement armé, une défaite cuisante, se chiffrant
par des centaines de prisonniers et de tués et lui a capturé de l'armement et
du matériel dont le volume est hors de proportion avec les moyens légers et
les effectifs engagés.
INSIGNE
du 2ème Régiment de Parachutistes d'infanterie de Marine.
Il fut créé par le Colonel CHATEAU-JOBERT et sa signification est la
suivante
-Le parachute symbolise les troupes aéroportées,
-Les ailes égyptiennes rappellent le badge SAS britannique,
-Le poignard est l'arme spéciale des commandos, l'ancre de Marine symbolise les
Troupes de Marine,
-Les trois couleurs sont celles de la France.
-Sur le poignard est inscrite la devise " QUI OSE GAGNE "
traduction de la légendaire devise des Parachutistes SAS : WHO DARES WINS
SA DEVISE "NE PAS SUBIR"
du Bataillon BLIZZARD, constitué en Algérie et intégré au régiment en 1955.
Historique: Héritier du 1er BPC, du 5e BPC, du 8e BPC "Blizzars" créer en 1955 rebaptisé 2e RPC régiment de parachutistes coloniaux, il participe à la guerre d'Indochine, fut parachuté sur Port-Said. ou il obtient trois citations à l'ordre de l'armée et la fourragère des TOE.
Héritier des SAS français formés en Grande Bretagne, le 2° Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes (2°BCCP) est officiellement créé en 1947. Au cours de deux campagnes en Indochine, 1947 - 1949 et 1950 - 1953, le 2° BCCP gagne, par sa conduite exemplaire au feu, trois citations à l'ordre de l'armée et la fourragère des TOE. Engagé en Afrique du nord à partir de 1955, devenu 2° Régiment Parachutistes Coloniaux, (2°RPC), le régiment s'illustre notamment au cours de deux opérations aéroportées majeures à Suez (Égypte) en 1956 et à Bizerte (Tunisie) en 1961. Dissous en métropole en 1962, le 2°R.P.I.M.à renaît à Madagascar en 1965 par changement d'appellation du 5° B.P.I.Ma. C'est le début de son aventure dans l'Océan Indien, qui le conduit de la base aérienne d'Ivato (près de Tananarive à Madagascar) à ST PIERRE de la Réunion en 1973
Spécificité du régiment. Outre sa mission de soutien au profit des FAZSOI, le 2° RPIMa exécute surtout une mission opérationnelle de souveraineté et d'intervention. Acteur majeur du rayonnement de la FRANCE, sa capacité opérationnelle, modeste mais complète, est régulièrement reconnue lors d'exercices interarmées et multinationaux.
2ème GUERRE MONDIALE
Formé en Angleterre à partir des anciennes Compagnies de l'Air et entraîné dans le style bien particulier des fameux SAS, le 2ème RCP est parachuté en Bretagne le 5 juin 1944.
L'EXTRÊME-ORIENT
Au retour de séjour d'Indochine fin 1946 des premiers parachutistes coloniaux, formés de l'amalgame des survivants de la 2ème guerre et de volontaires issus de diverses unités coloniales présentes sur le territoire, il fut décidé de créer un nouveau bataillon de ces parachutistes coloniaux. C'est dans ce cadre que le Chef de Bataillon DUPUIS prend le commandement du 5ème Bataillon de Parachutistes d'infanterie Colonial (BPIC) à TARBES. Le 5ème BPIC reçoit la garde du drapeau du 5ème Régiment d'infanterie Coloniale. Au cours du mois de juin 1947, le bataillon reçoit l'ordre de mettre sur pied un détachement de 700 hommes pour renforcer la demi-brigade SAS en Indochine. Le Chef de Bataillon DUPUIS prend le commandement de ce détachement, tandis que celui du 5ème BPIC est confié au Chef de Bataillon GRALL.
1er séjour1947-1949
Le détachement
DUPUIS embarqué sur le
vapeur PASTEUR le 30 octobre 1947 en partance pour l'Indochine. Il
arrive à SAIGON le 15 novembre 1947 et prend l'appellation de 2ème
Bataillon Colonial de Commandos Parachutistes (2ème BCCP). Trois
jours après son installation, le bataillon est engagé et ira d'opération
en opération, étant parachuté 29 fois pendant ce séjour. C'est au
cours de l'une d'elle que le Chef de Bataillon DUPUIS sera
mortellement blessé le 28 novembre 1948. Il sera remplacé à la tête du
bataillon par le Capitaine TRINQUIER, qui fut, comme chacun
sait, l'un des plus brillants théoriciens français de la guerre révolutionnaire.
La mission du 2ème BCCP en Extrême-Orient s'arrêtera le 12 décembre
1949, date à laquelle il embarqué pour la France. Le lendemain, sa
dissolution sera effective. Durant ce premier séjour en Indochine, le
bataillon ainsi que la 5ème compagnie seront cités à l'ordre de l'Armée.
Ses pertes seront de 6 officiers et de 46 sous-officiers et parachutistes.
2ème séjour
1950-1953
Sous les ordres du Capitaine TOCE, le bataillon est recréé
à Saint-Brieuc le 1er février 1950 et se prépare à relever le 3ème
BCCP en fin d'année. A son arrivée à Di An (Cochinchine) le 26
novembre1950,il prend l'appellation de 2ème Groupement Colonial de
Commandos Parachutistes (2ème GCCP).
Il deviendra le 2ème Bataillon de Parachutistes Coloniaux (2ème BPC)
le 1er mars 1951, mais perdra une partie de ses effectifs au profit du 8ème
BPC.
Le bataillon participe à de nombreuses opérations durant ce deuxième séjour
qui se terminera par son repli sur la France et sa dissolution le 24
janvier 1953. L'efficacité et l'ardeur du bataillon dans les divers
combats où il fut engagé lui valent deux nouvelles citations à l'ordre
de l'Armée et l'attribution de la fourragère aux couleurs du ruban de la
croix de guerre des T.O.E. Malheureusement, le bataillon perdra 3
officiers, 11sous-officiers et 66 parachutistes, soit 20 % de son
effectif, pendant cette période.
AFRIQUE DU NORD
Le régiment
servira successivement au Maroc (très brièvement), en Algérie, en
Egypte et en Tunisie. Après le débarquement du 1er BPC à Alger,
celui-ci se regroupe avec les 5ème et 8ème BPC (bataillon
BLIZZARD) à Constantine. Ces trois bataillons sont dissous le 1er
Octobre 1955 et le 2ème Régiment de Parachutistes Coloniaux est créé
à cette même date à partir des effectifs de ces bataillons. C'est le Chef
de bataillon FERRANO qui prend le commandement du régiment. Le 2ème
RPC engage un bataillon de marche au MAROC jusqu'à la fin de l'année 55.
Il fera mouvement sur ALGER en janvier 1956 et participera à différentes
opérations sur le territoire algérien jusqu'au 1er décembre 1958 où il
prendra l'appellation de 2ème Régiment de Parachutistes d'infanterie de
Marine (2ème RPIMA). A cette époque le chef de corps, le très
prestigieux Lieutenant-colonel CHATEAU-JOBERT est, tout
comme son second, le Lieutenant-colonel FOSSEY-FRANCOIS
Compagnon de la Libération.
Il participa à la guerre d'Algérie, Suez 1956, il sera engagé avec le 3e RPIMa dans la bataille de Bizerte en Tunisie 1961 pour délivrer les ressortissants français.
Dans la nuit du 5 au 6 novembre 1956, décollant de Chypre, le régiment saute en deux vagues sur le canai de Suez afin de s'emparer de Port-Saïd puis de Port-Fouad, au prix de 3 morts et 39 blessés. Face aux mille parachutistes du 2ème RPIMA, onze mille égyptiens dont les fameux commandos de la mort, les troupes d'élite du président NASSER, équipés de matériels lourds, chars, DCA, etc. Le jour même à 16H15, le Général El Moggy demande un cessez le feu. La victoire du régiment est aussi totale que fulgurante. Cette opération aéroportée lui vaudra une nouvelle citation à l'ordre de l'armée et l'inscription PORT-SAID sur son drapeau.
Dissous le 01/12/1958 il devient 2e RPIMa à Saint -Avold dissous le 15/08/1962, reformé le 01/01/1965 à partir du 5e BPIMa en garnison à Madagascar, il sera installé à la Réunion le 10/08/1973, puis à Pierrefond depuis 1980
Régiment de la 11e Brigade Parachutiste, il constitue l'essentiel des forces que l'armée de terre met à la disposition du commandement des Opérations Spéciales. A ce titre il est organisé sur l'île de Saint Pierre de la Réunion.
Les missions du 2ème RPIMa ] sous l'état-major de Fazsoi
En tant que formation d’infanterie, il remplit des missions de souveraineté sur les territoires Français dans toute la zone, notamment par des tournées de présence à Juan de Nova et Europa ; il est en mesure d’intervenir sous diverses formes : renforcement de force, aide aux populations, protection de ressortissants ; il assure des missions de service public, particulièrement en période cyclonique et en cas d’éruption volcanique ; enfin, il participe à la mise en oeuvre de coopération régionale en menant des détachements d’instruction opérationnelle dans les pays de la COI et de la SADC. En tant qu’unité de soutien, il assure la maintenance des matériels de forces terrestres ; il peut armer un centre de récupération et d’évacuation de ressortissants et un détachement logistique de soutien ; il assure enfin le soutien administratif et technique de l’état-major des FAZSOI, et des organismes, directions et services rattachés.
Insigne d'épaule et pucelle Fazoi de la force armée dans la zone sud de l'océan indien
D'une capacité projetable de près de 350 soldats, le 2°RPIMa se caractérise ainsi par la diversité de ses missions, alliant combat, soutien ,Coopération régionale (Madagascar, Maurice, Seychelles, Afrique du Sud, Bostwana..)
Depuis ses bases de la Réunion, le 2° RPIMa a participé a diverses opérations ayant concerné la sous-région: -OSIDE (Comores-1989), ISKOUTIR (Djibouti-1993), TURQUOISE (Rwanda-1994), AZALEE 1&2 (Comores-1995-1996), MANGORO (Madagascar-2002)
Le chant du 2e RPIMa
Rien ne saurait t'émouvoir
Nos
anciens ont souffert sur la piste
Comme des chevaliers et des preux
Dans ton cœur sois le parachutiste
Toujours prêt à faire aussi bien qu'eux
Car il faudra para, car il faudra para
En découdre, par le poignard
et par la poudre.
Ton chemin sera toujours la piste
Dans la nuit la chaleur et le froid
Où sont-ils mes braves parachutistes
Ils sont là devant toi les voilà
Car il faudra para, car il faudra para
En découdre, par le poignard
Et par la poudre
Si tu dois en finir sur la piste
Que ce soit en beauté comme ceux
Qui sont morts en vrais parachutistes
Comme des chevaliers et des preux
Car il faudra para, car il faudra para
En découdre, par le poignard
Et par la poudre
REFRAIN
Rien ne saurait t'émouvoir
Para rude parachutiste
C'est la loi
Dans les dangers de la piste
Rien ne saurait t'émouvoir
Le 2e et le 3e RPIMa à BIZERTE
Les loups sont rentrés dans Bizerte 158 pages |
le livre des 30 ans 1973 - 2003 |
édition France Empire |
renseignement Caserne Dupuis |
tarif 89Fr environ |
Le Grand 2 vient de fêter ses 30 ans sur l' Île de la réunion. Vous pouvez voir cela sur le site de
a section http://assoc.wanadoo.fr/unpreunionbjm/ et en vous rendant sur liaison et 2RPIMa
A bientôt et Vive ST MICHEL
BRIET. Le Président
informations extraites du site officiel du 2 RPIMa
Le Régiment de l'Océan Indien 1973 - 2003
Le mot du Chef
de Corps
Trente ans, déjà !
Trente années de vie commune entre le " régiment de l'Océan
Indien " et " l'île intense ". Cela crée
indubitablement des liens très forts entre militaires et civils réunionnais,
notamment dans la région du sud, autour de Saint-Pierre. Je pense,
ainsi, aux générations de jeunes conscrits qui ont servi les plis du
drapeau du 2ème RPIMa, en particulier dans les rangs de la compagnie
Bourbon, mais aussi à ceux qui, aujourd'hui, ont rejoint les rangs
des réservistes. Cet élan patriotique, si présent à la Réunion,
fait honneur au département et chaud au cœur des personnels qui
servent le régiment.
Dans les faits, ces années se sont traduites par des missions
d'assistances aux populations lors des cyclones et des éruptions
volcaniques, mais également par des opérations de maintien de la
paix au Rwanda et aux Comores. Je n'oublie pas le rôle du régiment
dans le cadre du développement de la coopération régionale ô
combien importante pour une terre insulaire.
C'est donc cette symbiose entre le 2ème RPIMa et son environnement
que nous commémorons cette année. C'est la façon, pour nous
militaire de passage, de remercier nos hôtes et de les assurer de
notre soutien indéfectible.
Le Colonel
Franck Reignier
Commandant le 2ème RPIMa
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Le 2e RPIMa a été stationné à Saint- Avold dans les Quartier Ardant du picq, Quartier Lahitolle, Quartier Zimming de 1958 à 1962
En ce qui concerne le casernement de ZIMMING voir le Site: http://www.kerfent.com/ (à chercher sous la rubrique le camp de Zimming),
Il s'agit de photos actuelles. (Le camp ayant été transformé en habitation) Je pense que le Webmaster ne fera aucun problème pour que tu publies les photos sous la rubrique du 2RPIMa. Je suis en contact avec lui pour d'autres régiments.
Un autre site intéressant: http://grostenquin.org/photos/pgt601sqn.html (dédié au 601 Telecom Squadron).
Le 2RPIMa a peut-être occupée cette station radio qui était tenue, dans le cadre des forces de l'O.T.AN., par la R.C.A.F., jusque dans les années 1961 environ.
Une personne âgée m'a affirmé avoir travaillé en tant que civil à MORHANGE en Moselle pour le 2RPIMa dans les années 1958-1962.
Malheureusement, elle ne se souvient plus du nom de la caserne. Et comme les casernes de MORHANGE ont quasiment toutes été transformées en habitation !
Le 2e RPIMa a stationné à SAINT-AVOLD dans les: Quartier Ardant du Picq, Quartier Lahitolle, et le camp de la commune proche de ZIMMING. Pendant un mois environ.
un habitant SAINT-AVOLD
Quartier Ardant du Picq
Quartier Lahitolle
Le 2e RPIma embarque à Bône le 15/06/1962 sur le porte avions Lafayette et débarque à Marseille le 16/06/1962 et rejoint Saint-Avold. La photo a été prise par moi-même lors du dernier défilé du régiment avec en tête le C.B MOLLO – Caserne Ardan-du-Picq. Lors de cette dernière cérémonie les noms de tous les tués du régiment en Algérie ont été cités et ce jour là il pleuvait. Jusqu’au 06/08/1962 j’étais cantonné à Saint-Avold . Avec mes plus cordiales salutations
Guy TERRASSE (Ex Sergent au 2e RPIma 1959-1962)
Ou joindre le 2e RPIMa |
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Renseignements FAZSOI : 02.62.93.50.16 |
Personnes a contacter |
tél.: |
02.62.35.82.01 |
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Fax: |
02.62.35.82.01 |
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Adresse: |
Caserne Dupuis -BP386 Pierrefonts 97448 Saint Pierre de la Réunion Cedex |
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Site Internet: |
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E-mail: |
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Amicale: |
du 2e RPIMa et 5e MPIMa tél.: 04.74.77.86.72 Fax: 04.74.77.86.72 |
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